Il y a dans chaque jeune être un peintre animalier en puissance! Ce n'est que plus tard que l'homme, policé, acclimaté à une civilisation sans rapport avec la mère nature, perd son intérêt pour l'animal et s'en détourne. Les rares peintres animaliers qui existent de part le monde n'ont peut-être pas tout à fait perdu leur âme d'enfant...
Et pour ma part, j'aime assez les personnes capables d'attachement à un animal familier.
D'autre part, on remarquera avec enthousiasme, que les jeunes peintres ne peignent pas des D.S, des ordinateurs, des plays station, des Barbies, des Actions Mans, des téléphones portables, des héros de maga... Pas du tout, leur imaginaire est beaucoup plus sain, ils aiment peindre la douceur de l'animal dont ils se sentent proches. Cette remarque pour dire que les jeunes ne sont pas du tout ce qu'on entend parfois dire d'eux, à ma grande surprise et mon indignation. Non, ils ne sont pas lobotomisé par la technologie -qu'ils n'ont du reste pas inventée, puisqu'elle est le fait de leurs ainés qui leur reprochent de l'utiliser, comble du grotesque et de l'irresponsabilité!
Ici, une acrylique-poisson de Lise, 9 ans.
Une gouache-animal hybride de Sébastien, 14 ans.
Une acrylique-zèbre d'Amandine, 14 ans.
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