dimanche 13 février 2011

DE DOS...

Comme quoi il n'est pas besoin de peindre le visage d'une personne pour que celle-ci devienne intéressante! La geïsha à l'acrylique sur toile de Laëtitia se présente de dos, on ne voit pas son visage et, paradoxalement, c'est ce qui la magnifie: on l'imagine... Belle, bien sûr. C'est donc une mise en scène, le rideau de scène est entrouvert, et elle va sûrement entrer en scène... L'espace est théâtralisé. Tout est raffiné, le rideau travaillé comme une dentelle, le kimono élaboré en fleurs ton sur ton, tout concourt à nous rappeler le goût du détail de cette culture asiatique très ancienne, goût du détail qui est loin de déplaire à Laëtita.

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